J'ai enfin goûté la bonne chère/chair

Selmi recommença le mouvement mais plus ralenti... Chaque pénétration durait 2-3 secondes... je ressentais chaque titillement. Une volupté à vouloir en mourir. Paume dans la paume je la tirais chaque fois qu'elle séloignait; puis nous nous fondions l'une contre l'autre. Le va et vient en parfait concert, elle saisit ma clito et commença à la traire. Jusque là éteinte, la maline a redressé la tête dès qu'elle a été côtoyée et pris un peu de couleur. Mes jambes écartés au max vers les côtés elle m'enculait et me branlait en même temps. Elle interrompait la branlette dès qu'il y avait trop de rébellion... Et ainsi de suite... J'ignore combien a duré ce jeu mais ça m'a beaucoup plu. Les gestes de Selmi sont devenus de plus en plus rudes et violents, elles me gifflait les cuisses, elles les pinçait, mes tétons aussi... je ne suis pas du genre à me faire fouetter, mais c'est drôle, ça me plaisait énormément. Elle accélera la cadence... Le claquement produit par le choc de nos corps et nos gémissements envahirent la pièce; on aurait dit une orgie à dix. On s'en foutait un peu, on allait quitter les lieux dans deux jours. Plus elle accélérait plus ma tention montait, je ressentais mon propre pouls. D'un coup elle ralentit et encore une fois les pulsations de ma conquistador dans moi s'accéléraient; un coeur qui battait dans ma chatte... Hmmm! Quelle sensation.. Son pouls et les contractions de mon anneau sont devenus de plus en plus fréquents... ils étaient en parfait harmonie pour le Summum final.. Selmi a voulu sortir mais je l'ai retenue: “dedans!”... Elle enfonça violemment sa queue jusqu'au fond, alors une chaleur fluide a coulé à l'intérieur de ma ELLE... une lave brûlant tout sur son passage circulait maintenant dans moi... Une boule de flamme incendiait ma tube. Je sentais mon conquistador nager dans sa lave, Selmi continuant le va-et-vient. Mais épuisée elle s'effondra à côté, sa verge encore mouillée. J'ai mis un doigt dans mon trou pour récupérer un peu de liquide et la goûter mais j'y ai aussitôt renoncé...